L’écoute bienveillante et l’accompagnement des personnes ont toujours été au cœur de ma personnalité. Pendant plus de 20 ans, guidée par ma curiosité intellectuelle, j’ai évolué au sein des bibliothèques municipales et universitaires. Mon goût pour le savoir et la transmission auprès de publics très divers (adolescents, étudiants, enseignants, …) a influencé le choix de mon métier.

Dans mon quotidien à l’université, j’ai été confrontée aux difficultés étudiantes, notamment lors de la préparation des examens et pendant le déroulement des épreuves. Je constatais que le stress amenait à se couper de son corps et à renforcer le mental dans un cercle vicieux. Un phénomène qui concerne bon nombre d’entre nous dans les moments tendus de notre vie où le mental est omniprésent. On parle couramment aujourd’hui de « charge mentale » qui pèse sur nos épaules. Or le corps est une caisse de résonance qui nous informe précieusement sur notre état d’être. L’accueillir à travers ses sensations, sa respiration entraîne immédiatement un grand mieux-être. J’ai réalisé à quel point la prise en compte du corps dans le quotidien est bénéfique ; travailler à retrouver ce lien corps-esprit est fondamental à l’équilibre psychique.

Même si mon métier me plaisait, j’ai souhaité me tourner vers une activité où le corps n’était plus relégué au second plan mais avait toute sa place. C’est la raison pour laquelle je me suis tournée vers la sophrologie qui offre une méthode qui intègre la dimension mentale, physique et émotionnelle. Pour moi, cette discipline est devenue un allié précieux et puissant me permettant d’améliorer mon sommeil, de vivre sereinement mes grossesses et d’apprendre à gérer mon stress. Je me suis alors formée avec l’École de Sophrologie Caycédienne de Lyon et le cabinet Sophro-vivances est né. Aujourd’hui, l’écoute bienveillante, l’acceptation de la singularité et le développement de soi sont des valeurs au cœur de ma démarche.